Si seulement en région parisienne les gens prenaient la peine de le lever la tête...
Quelle ne serait pas leur surprise !
"Comment ca il y a autre chose que du béton dans ma ville ? Comment ca je peux regarder autre chose que mes pieds dans mon métro boulot dodo quotidien ?"
Son-et-lumiere
When I was a boy with never a crack in my heart.
Dimanche 13 juin 2010 à 14:21
Lundi 24 mai 2010 à 13:12
Je ne suis pas myope, et je sais bien comme ce n'est pas drôle...
Mais parfois je m'amuse et me dit la vie, la ville, sont bien plus belles floues.
Photo prise, si ma mémoire est bonne, avec Bullets de Archive
Mais parfois je m'amuse et me dit la vie, la ville, sont bien plus belles floues.
Photo prise, si ma mémoire est bonne, avec Bullets de Archive
Dimanche 23 mai 2010 à 18:50
Je sors ce soir.
Il fera jour en sortant.
Je sais que tu m'attend,
que tu sera en blanc
comme chaque jour de beau temps.
Il fera jour en sortant.
Je sais que tu m'attend,
que tu sera en blanc
comme chaque jour de beau temps.
Quel plaisir de montrer enfin des photos hivernales sans avoir un regard las vers la fenêtre, et photodéprimer en soupirant... Enfin il fait beau, un vrai beau temps que j'attendais depuis trop longtemps.
On se prend à sourire seul dans la rue à aller chercher le pain en tong, saluer les inconnus.... Le bonheur est en partie photosynthétique, non ?
On se surprend à siffloter... Du Andrew Bird.
Vendredi 21 mai 2010 à 23:26
Sur les bords de seine.
Presque monochrome, presque vide, c'est une de mes photos préférées, mais je ne saurais vous dire pourquoi. Ce que la photo dégage, elle le tient de la composition, je pense... On imagine la photo comme infinie, comme un grand désert gris que cette personne parcours... Une photo qui évoque, subtilement.
Une photo pleine de silence.
Une photo pleine de silence.
Quelques regrets quant à la taille de la photo, qu'il faudrait voir grande... mais je ne sais comment faire.
Samedi 1er mai 2010 à 14:06
Children of Windaklo
(La partie mâle de la fleur n'est pas celle que l'on crois !)
Cette chanson qui ouvre le premier album de Nosfell m'as toujours fait penser à la croissance d'une plante. L'introduction n'évoque d'une simple graine, qui s'ouvre lorsque la voix aigüe surgit. On vois alors la tige se développer doucement jusqu'à la moitié de la chanson, on ressent que la croissance est pénible, que la plante peine... Une lueur apparaît au bout de 1:28. Un rayon de soleil. Alors ce qui n'était qu'une tige s'orne de feuilles, et déjà voilà notre graine devenue plante. Cette dernière continue à pousser, avec ces circonvolutions que la musique évoque, on entend la pluie, le vent et la plante qui résiste. Le temps qui avance.
Bien sur, c'est une belle fleur majeure qui achève le tout.
(La partie mâle de la fleur n'est pas celle que l'on crois !)
Cette chanson qui ouvre le premier album de Nosfell m'as toujours fait penser à la croissance d'une plante. L'introduction n'évoque d'une simple graine, qui s'ouvre lorsque la voix aigüe surgit. On vois alors la tige se développer doucement jusqu'à la moitié de la chanson, on ressent que la croissance est pénible, que la plante peine... Une lueur apparaît au bout de 1:28. Un rayon de soleil. Alors ce qui n'était qu'une tige s'orne de feuilles, et déjà voilà notre graine devenue plante. Cette dernière continue à pousser, avec ces circonvolutions que la musique évoque, on entend la pluie, le vent et la plante qui résiste. Le temps qui avance.
Bien sur, c'est une belle fleur majeure qui achève le tout.
<< <<