Il y aurait surement quelque chose à raconter sur le jeune homme qui dansait sur Po Tiltu dans une rue déserte de son quartier, en rentrant de cours à 19h30, dans la faible lueur du peu de réverbères allumés...
Et sur ce jeune homme qui à 19h attendait le train sous la bruine, dans le vent, déambulant pour se réchauffer sous les yeux et parmis les grelottantes statues qui râlent. Lui, il écoutait la Lontano de Ligeti, la larme à l'oeil, l'air grave et absent.
Son-et-lumiere
When I was a boy with never a crack in my heart.
Vendredi 12 novembre 2010 à 21:43
Commentaires
Par Dimanche 14 novembre 2010 à 15:47
le Eh bien, je pourrais traduire "appui" par le fait que ce soit fort en fait. ^^
Par Mercredi 31 août 2016 à 11:14
le Il est chouette et la musique aussi.
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Quant à la deuxième chanson, on entre dans un registre radicalement différent. C'est inquiétant, c'est grinçant, c'est plof, c'est brr... Ca fait totalement contraste avec la légèreté de la voix d'Alina Orlova. Bizarrement ça me fait penser au Bambi de Walt Disney, le moment où il perd sa mère. ^o) (je suis bizarre, je sais) C'est le genre de truc qui s'écoute dans la rue ou bien quand on écrit; je n'écouterais pas ça chez moi!