Oui le "chanteur" hurle, mais cela ne vous regarde pas. Ce n'est qu'un moyen, une manière de faire, et cela n'a pas d'importance.
On demande rarement à un peintre pourquoi il préfère l'huile à l'eau. D'ailleurs lorsque l'on observe un tableau, s'intéresse-t-on à la technique avant d'avoir observé le tableau, avant d'avoir essayé de se laisser prendre, de se laisser émouvoir ? Le tableau est un objet et, à moins d'en faire une analyse, il n'est nul besoin de le découper pour le regarder. Il en va de même pour la musique, une "unité de musique" (es-ce un dies irae, un requiem, l'oeuvre complète d'une vie, un morceaux, un album ? C'est en général l'artiste qui décide et impose plus ou moins...) ne doit pas être disséqué avant de vous avoir enveloppé, mené dans un monde unique issu de la confrontation de vos émotions et l'imagination de l'artiste, de gré ou de force.
Enfin, il faut passer au delà de la manière, de la forme, pour accéder au fond. Je vous l'accorde, c'est difficile.
Mais, on en est déjà au stade de la réécoute alors.
Et c'est alors que la musique commence, la musique comme relation entre le monde et l'individu. Quiconque ayant déjà écouté de la musique suffisamment fort, ayant déjà joué de la musique, ou été dans une bonne salle de concert sait bien que la musique, si elle viens bien d'une source précise, est partout, et que si l'on ferme les yeux, que l'on se laisse aller, on la perçois dans l'air, parfois même, on la touche. C'est pour cela que je parle de relation entre monde extérieur et individu, la musique viens de partout. Et le lien que l'on peut faire avec le style de musique en question est tout particulièrement fort.
Mais c'est alors à vous de juger, si vous êtes comme moi, nu, devant cette musique, la peau à vif même, la gorge sèche à force de crier, le corps entier dont on ne maitrise pas les mouvements, vous avez de la chance. Sinon, vous avez découvert quelque chose, ou si vous connaissiez, perdu votre temps.
Quoi qu'il en soit, n'hésitez pas à commenter, je pense que dévoiler sa perception de la musique ne peux faire que du bien.
Pour les curieux (ou masochistes jugeront certains) un autre exemple...
On demande rarement à un peintre pourquoi il préfère l'huile à l'eau. D'ailleurs lorsque l'on observe un tableau, s'intéresse-t-on à la technique avant d'avoir observé le tableau, avant d'avoir essayé de se laisser prendre, de se laisser émouvoir ? Le tableau est un objet et, à moins d'en faire une analyse, il n'est nul besoin de le découper pour le regarder. Il en va de même pour la musique, une "unité de musique" (es-ce un dies irae, un requiem, l'oeuvre complète d'une vie, un morceaux, un album ? C'est en général l'artiste qui décide et impose plus ou moins...) ne doit pas être disséqué avant de vous avoir enveloppé, mené dans un monde unique issu de la confrontation de vos émotions et l'imagination de l'artiste, de gré ou de force.
Enfin, il faut passer au delà de la manière, de la forme, pour accéder au fond. Je vous l'accorde, c'est difficile.
Mais, on en est déjà au stade de la réécoute alors.
Et c'est alors que la musique commence, la musique comme relation entre le monde et l'individu. Quiconque ayant déjà écouté de la musique suffisamment fort, ayant déjà joué de la musique, ou été dans une bonne salle de concert sait bien que la musique, si elle viens bien d'une source précise, est partout, et que si l'on ferme les yeux, que l'on se laisse aller, on la perçois dans l'air, parfois même, on la touche. C'est pour cela que je parle de relation entre monde extérieur et individu, la musique viens de partout. Et le lien que l'on peut faire avec le style de musique en question est tout particulièrement fort.
Mais c'est alors à vous de juger, si vous êtes comme moi, nu, devant cette musique, la peau à vif même, la gorge sèche à force de crier, le corps entier dont on ne maitrise pas les mouvements, vous avez de la chance. Sinon, vous avez découvert quelque chose, ou si vous connaissiez, perdu votre temps.
Quoi qu'il en soit, n'hésitez pas à commenter, je pense que dévoiler sa perception de la musique ne peux faire que du bien.
Pour les curieux (ou masochistes jugeront certains) un autre exemple...
"Quand Kyra passe la.." Non, ouais, bon, euh.. ok. :(
Et puis.. Cela ne nous.. regarde pas ! :o
N'empêche que c'est très violent, spécial et ça m'a un peu bouleversée. :x